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En 2019, un peu plus de 56000 accidents corporels se sont produits sur les routes de France, faisant 202 victimes (193 blessés et 9 tués) par jour. Ces accidents ont tous des conséquences dramatiques dans la vie

quotidienne des victimes et de leurs familles. Ce sont autant de vies brisées sur nos routes.
Ce sombre constat ne doit pas cacher la réussite indéniable de la politique publique de sécurité routière depuis les premières mesures lancées en 1972. Au cours de ces 10 dernières années, le nombre d’accidents corporels a chuté de près de 33% et celui des tués sur les routes de 35%, malgré la hausse de la fréquentation de notre réseau routier.

Le Gouvernement a fait de la lutte contre l’insécurité routière une priorité
et les services sont, tous les jours, sur le terrain pour contrôler, sanctionner, prévenir, secourir. L’engagement du Ministère de l’Intérieur dans le contrôle des contrevenants aux règles, est total, et mon soutien aux forces de sécurité et aux forces de secours qui œuvrent sur tout le territoire, est indéfectible. Chaque jour, chaque nuit, policiers, gendarmes, sapeurs-pompiers, professionnels ou volontaires, civils ou militaires, sont les premiers présents sur les accidents. Les équipes de secours agissent avec professionnalismesur toutes les situations, même les plus dif ciles, et nous apportent unecapacité de secours inédite.
Le combat contre l’insécurité routière doit être poursuivi sans relâche. Rappeler les règles de prudence, pour informer des risques que fait courir
à sa famille, à ses amis, et à tous les usagers de la route, la vitesse, l’alcool, les drogues ou le téléphone.
Réduire les risques sur la route est aussi un combat personnel qui relève de la responsabilité de chacun. Car dans la grande majorité des cas, les accidents sont dus à une défaillance humaine, un manquement au Code de la route ou à une inattention dont les conséquences sont souvent dramatiques.
C’est pourquoi il nous faut continuer à convaincre qu’une circulation apaisée et partagée est possible, permettant la mobilité de tous, si chacun d’entre nous fait un effort de formation et de respect des règles de sécurité. Il nous faut continuer de soutenir les actions de prévention et d’apprentissage, et ce notamment à destination des plus jeunes. Il nous faut poursuivre notre effort pour mieux prévenir et sanctionner les conduites à risque, en particulier sous l’emprise de la drogue ou de l’alcool.
Ce chiffre de décès sur les routes n’est pas une fatalité. Il peut et il doit
être réduit en faisant prendre conscience que ces victimes sont, dans la plupart des cas, évitables et que nos comportements sur la route doivent individuellement et collectivement changer.

Cette lutte contre l’insécurité routière, cet engagement de chacun, agent, bénévole, citoyen, le Ministère de l’Intérieur que je dirige y est profondément attaché, car cet engagement a un unique objectif : sauver des vies.

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